Cette traversée du commissariat d’exposition et du curating aux XXe et XXIe siècles sera réalisée à partir d’une galerie de portraits de curator. Qu’est-ce qu’être commissaire ? Comment opérer pour choisir et agencer des œuvres ? Et à quelles fins (esthétiques, historiques, politiques…) ? Pourquoi produire un  tel geste dialectique ? Une fois ces questions abordées, les étudiant.e.s seront amené.e.s à écrire leur propre concept d’« exposition imaginaire », à partir d’œuvres issues de la collection du FRAC Picardie.



Cette traversée du commissariat d’exposition et du curating aux XXe et XXIe siècles sera réalisée à partir d’une galerie de portraits de curator. Qu’est-ce qu’être commissaire ? Comment opérer pour choisir et agencer des œuvres ? Et à quelles fins (esthétiques, historiques, politiques…) ? Pourquoi produire un  tel geste dialectique ? Une fois ces questions abordées, les étudiant.e.s seront amené.e.s à écrire leur propre concept d’« exposition imaginaire », à partir d’œuvres issues de la collection du FRAC Picardie.


Ce cours traitera des liens entre art, cosmos, sciences, et technologies. Il s’agira d’arpenter la thématique cosmique depuis les découvertes techniques de l’époque moderne jusqu’aux installations high-tech les plus contemporaines, en passant par la photographie ou le cinéma. Chaque séance dressera le portrait d’un·e ou plusieurs artistes, tout en ouvrant sur des questions politiques et écologiques. La méthodologie adoptée sera trans-disciplinaire, se permettant des anachronismes, et mobilisera les outils d’une histoire culturelle de la représentation du ciel étoilé.


Cet enseignement propose un kit de survie en temps de désastre climatique. À partir de grands textes de la pensée écologique, mais aussi au moyen d’outils philosophiques, cartographiques et littéraires, nous verrons comment les pratiques artistiques contemporaines répondent à un certain état du monde. Des notions clés seront abordées : la montée en puissance de la figure de Gaïa, les dialogues inter-règnes entre humains et non-humains, en passant par des questions biologiques et environnementales. On ouvrira la réflexion joyeusement au lieu de nous laisser abattre par elle, en donnant toute sa puissance au désir de voir, et au pouvoir de l’imagination.